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Parallèlement à la session parlementaire, nous lançons la première vague de notre campagne avec un objectif clair : thématiser d’ores et déjà les problèmes de cette initiative au-delà des couloirs de la Berne fédérale. Pendant trois semaines, à travers une campagne d’affichage dans l’espace public, nous mettrons en avant nos principaux arguments : l’initiative des Jeunes Socialistes nuirait à la classe moyenne, aux PME ainsi qu’au service public. En lançant cette action dès maintenant, le PLR souligne l’importance qu’il accorde à cette campagne pour le NON. Une chose est certaine : le PLR se positionne dès maintenant comme le rempart contre de nouvelles taxes pour la classe moyenne et contre la vente forcée des entreprises familiales.

La Commission de l’économie du Conseil national rejette « l’initiative d’expropriation » du PS/Jeunesse socialiste sans contre-projet, suivant ainsi le PLR et le Conseil fédéral. Les politiciens sensibles à l’économie s’opposent clairement à un projet qui fragiliserait les entreprises familiales via un impôt sur les successions de 50% et affaiblirait la classe moyenne.

Moins de moyens pour la police, l’école et la recherche

La Commission de l’économie du Conseil national souligne à quel point « l’initiative d’expropriation » serait dangereuse pour la Suisse. L’initiative du PS et de la Jeunesse socialiste souhaiterait chasser les entreprises les plus prospères du pays. Selon le Conseil fédéral, il manquerait jusqu’à 3,7 milliards de francs par an à la Confédération. Il en résulterait un choc fiscal pour la classe moyenne ou des programmes d’économie massifs pour la Confédération, les cantons et les communes. Même des tâches importantes de l’État seraient touchées.

La Suisse devrait ainsi :

  • Licencier tous les policiers cantonaux : une policière ou un policier à Berne, par exemple, gagne 92’000 francs par an. Pour compenser les dommages causés par l’initiative d’expropriation, il faudrait licencier 40’000 policiers cantonaux. C’est plus du double de ce qu’il y a aujourd’hui dans l’ensemble des cantons (19’000). Ou alors :
  • Fermer les écoles et les garderies : le salaire moyen d’une enseignante ou d’un enseignant en début de carrière en Suisse est de 80’000 francs. À cause de l’initiative d’expropriation, les écoles, dont certaines sont déjà en difficulté, devraient renoncer à 45’000 nouveaux enseignants. Ou alors :
  • Ruiner notre pôle de recherche : l’un des atouts de la Suisse est sa capacité d’innovation. Au total, nous investissons 4,4 milliards par an dans la recherche, tous niveaux de gouvernement confondus. Ces fonds seraient presque entièrement supprimés. Ou alors :
  • Annuler la culture et le sport : les associations et fédérations suisses ainsi que tous les acteurs culturels pourraient plier bagage. Les dépenses actuelles pour la culture (3 milliards) seraient supprimées. Nous pourrions également annuler le championnat d’Europe de football féminin, car les dépenses pour le sport (170 millions) seraient également supprimées.

Le PS et la Jeunesse socialiste passent sous silence ces conséquences dramatiques. Ils seraient prêts à affaiblir le service public dans le but de poursuivre leur utopie socialiste. C’est pourtant justement le PS, qui d’habitude souhaite toujours gonfler l’État, qui met cette fois en danger grand nombre de ses tâches essentielles.

Protéger la classe moyenne

Comment sauverait-on le service public en Suisse ? Tout simplement en augmentant massivement les impôts pour la classe moyenne. C’est exactement ce que réclameraient la gauche et ses soutiens du « Centre », une fois les entreprises familiales démantelées et les gros contribuables chassés. La facture serait payée par toutes les personnes qui mettent le réveil le matin dans ce pays. Celles et ceux qui se lèvent tôt devraient avoir plus le soir en se couchant.

Le PLR s’opposera fermement à cette initiative des Jeunes Socialistes – pour le bien de la classe moyenne et des PME, qui seraient les plus touchées par ce projet dangereux.

Le PS et la Jeunesse Socialiste (JS) se lancent dans une chasse aux contribuables les plus importants et veulent imposer à la classe moyenne, déjà malmenée, des impôts supplémentaires de 3,7 milliards par an. Pour les camarades socialistes, tous les moyens sont bons pour atteindre leurs rêves socialistes, même si cela passe par la disparition de milliers d’emplois.

Le 13 décembre 2024, le Conseil fédéral a adopté son message sur l’initiative d’expropriation du PS/JS. Il y expose clairement les conséquences de ce projet socialiste : des pertes fiscales se chiffrant en milliards, l’affaiblissement des entreprises familiales et la perte d’emplois pour des milliers de personnes en Suisse.

Le PS/JS contre l’emploi
Alors que l’Europe est en proie à une crise industrielle et se dirige vers une récession, le PS et la Jeunesse socialiste jettent de l’huile sur le feu et mettent en péril des milliers d’emplois en Suisse. Le Conseil fédéral affirme clairement que les entreprises « sont souvent liquidées lorsque leurs propriétaires décident de déménager à l’étranger en raison de hausses d’impôts ». Si l’initiative sur l’expropriation était acceptée, des milliers d’emplois disparaîtraient en Suisse.

Le PS/JS contre le service public
Les pertes fiscales seraient massives. Le Conseil fédéral estime que le manque à gagner pourrait atteindre 3,7 milliards de francs. « La plupart de ces pertes de recettes affectant les cantons ». Cet argent manquerait cruellement à la Confédération, aux cantons et aux communes. Les économies se feraient dans les écoles, les réductions de primes, les transports publics et les loisirs. L’initiative socialiste du PS et de la JS déclencherait une coupe importante dans le service public.

Le PS/JS contre la classe moyenne
Pour éviter les coupes dans le service public, celles et ceux qui se réveillent tôt chaque matin pour aller travailler devraient compenser les milliards de pertes par une hausse des impôts. Ainsi, cette initiative perfide n’est rien d’autre qu’une attaque frontale contre la classe moyenne qui travaille et qui est déjà lourdement taxée.

La Suisse s’est habituée à se prononcer sur les initiatives de la Jeunesse Socialiste. Mais le fait que la direction, unie, du PS (Mattea Meyer, Cédric Wermuth, Samira Marti et Samuel Bendahan), soit représentée dans le comité d’initiative est un nouveau coup bas pour la gauche.

Le PLR s’oppose à l’initiative des Jeunes Socialistes et la combattra fermement, pour le bien de celles et ceux qui veulent subvenir eux-mêmes à leurs besoins et ne pas vivre aux frais de la collectivité.